les toits de Blois et quelques réflexions sur la photographie et la peinture

Voici ce que j’écrivais en peignant les toits de Blois

« Je n’ai pas peur de la photographie. C’est une alliée, une amie, une complice. Peu importe que mon point de départ soit une photographie, le résultat final n’aura dans tous les cas rien à voir avec elle. Quand bien même c’était le cas, mon but est tellement et tout naturellement éloigné de cet acte de ressemblance que la question ne se pose pas. C’est juste un moyen de rester plus longtemps en contemplation, figer l’instant d’observation.  » Note pour le triptyque égal Les toits de Blois 29 mai 2005.

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