Villa Hallé : depuis la nouvelle maison du 38bis rue Hallé

La Villa Hallé n’est pas une maison, mais bien une impasse privée. Une «villa» au sens parisien, et quelque peu inhabituel du terme.

Après les explications données il y a quelques mois au sujet d’une aquarelle sur la Villa Hallé, cette impasse privée d’un lotissement de 1830 appelé « Village d’Orléans » dont où une nouvelle maison d’architecte vient d’être construite à l’emplacement une ancienne maison, je voulut reprendre ce dessin, pour en donner une version à l’acrylique, qui a l’avantage de présenter des caractéristiques techniques proches de l’aquarelle (dilution à l’eau, possibilité de faire des lavis assez similaires à l’aquarelle) tout en permettant une certaine opacité et une épaisseur proche du travail de la peinture à l’huile.

La villa Hallé depuis la nouvelle maison du 38bis rue Hallé

Villa Hallé
Villa Hallé dans son état préliminaire 

Avec l’acrylique, comme l’huile, on peut travailler dans l’humide et dans le sec, ce qui permet des effets différents. Voici 2 étapes de cet acrylique, une première étape en haut à gauche avec un jus assez dilué qui m’a permis d’appliquer les premières couleurs sur quasiment l’ensemble du tableau, puis avec les finitions (à droite) l’étape finale où j’ai pu affiner le jeu des couleurs avec un travail particulièrement minutieux sur les arbres de la villa.

Villa Hallé
La peintuire dans son état final 
Yann Gourvennec
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