Mon matériel photographique

Cette page de l’Antimusée est consacrée à mon matériel photographique. J’ai développé une passion pour l’art depuis l’enfance. Je pratique aussi l’aquarelle et le dessin depuis le début des années 1980.

Je suis adepte de la photographie depuis le début des années 80, en commençant par un Foca Sport II. Il s’agit d’un vieil appareil photo français des années 1960 avec un bel objectif fixe Angenieux. Je me suis ensuite exercé sur un Canon AE1 Program plus sophistiqué. J’ai enfin appris l’art du développement dans la chambre noire tout seul, en me concentrant sur le noir & blanc.

J’ai gardé une prédilection pour le noir et blanc dans mes photographies d’art. J’apprécie énormément les possibilités offertes par le digital en ce domaine du développement noir et blanc.

Une passion pour l’art et la photographie

Mon matériel photographique

En 1996, j’ai découvert la photographie numérique, car je suis un pionnier de l’Internet. Mon premier appareil était un Canon. C’était un des premiers appareils photo numériques rapportés du Japon par un de mes collègues d’Unisys. Sa référence : Canon Powershot 600.

Il utilisait de minuscules disquettes propriétaires faites sur mesure. La qualité était formidable compte tenu de la période. Il a fallu beaucoup de temps aux appareils photo numériques pour rattraper ces anciennes merveilles. Il totalisait un demi-million de pixels, mais la qualité était excellente. Peut-être que l’objectif intégré était de bonne qualité, je ne sais.

Clic clac Kodak

J’ai ensuite acheté un Kodak chez PCWorld à Londres, où j’habitais, qui ne m’a pas impressionné. Puis j’ai continué à utiliser un certain nombre d’appareils de format bridge d’Olympus. Puis un appareil de poche Fuji jusqu’à ce que j’achète un appareil reflex Sony (anciennement Minolta) en 2007. Ce dernier fut une révélation, enfin un appareil numérique qui alliait qualité photographique et souplesse du numérique.

J’ai ensuite décidé d’échanger mon Sony Alpha 100 en 2011 pour le formidable Nikon D7000, un appareil reflex APSC. Il faisait d’excellentes photos pour un prix très raisonnable.

En décembre 2012, j’ai échangé mon Nikon D7000 contre un Nikon D600. Un appareil photo reflex plein format très similaire au D7000.

Quelques années plus tard, j’ai acheté le D810, une bête de 36 MP. C’est un superbe appareil photo (à droite), presque un moyen format. Sa précision et sa qualité étaient absolument étonnantes.

Fin 2019, juste avant que la pandémie ne frappe le monde, je suis passé au tout-numérique. J’ai acquis un appareil photo Mirrorless Nikon Z7. Même si je suis très satisfait de cet appareil sans miroir plus récent, mon D810 est cependant resté mon appareil préféré pendant longtemps. Le Z7 (et plus tard le Z9 voir plus bas). J’utilise plusieurs appareils en fonction des circonstances, le Z7, le Z9 et un nouveau D850 (qui est principalement utilisé en studio comme cela est expliqué ci-dessous).

Depuis 2021 j’ai installé mon studio photo dans le 15e arrondissement de Paris. Pour l’occasion j’ai investi dans un Nikon D850 équipé d’un superbe objectif Nikon 85mm 1:4. J’ai fait le choix du D850 plutôt que d’un sans miroir du fait de sa fiabilité et de sa robustesse. Un choix qui s’est révélé judicieux.

Des objectifs

J’aime mes appareils photo, mais j’aime encore plus mes objectifs. J’en ai toute une collection. L’une de mes optiques préférées est un objectif manuel vintage à focale fixe 35 mm f:2 Nikkor O. Il a mon âge.

Les petits derniers : Nikon Z9, Nikkor 85 mm f/1.4 et Tamron 16-30 f/2.8

Depuis 2021, la collection a été complétée. Comme l’explique si bien Simon d’Entremont sur sa chaîne YouTube, ce qui compte principalement en photographie, ce sont les objectifs. Pour cela, nous disposons d’une belle collection d’objectifs premium Nikon. D’abord les deux 24-70 mm f/2.8 et 1 70-200 mm f/2.8 qui sont nos objectifs favoris pour les concerts, les événements, bref tous les shootings dans des conditions de lumière assez mauvaises et où le flash ne sert que d’appoint pour déboucher les ombres. Comme je l’ai expliqué plus haut, mes 24-70 mm ne me quittent (quasiment) jamais. Montés sur les boîtiers mirrorless, ils permettent d’ajouter à leur exceptionnelle qualité optique, le piqué de la stabilisation sur l’appareil photo.

À cela, on ajoute un Nikon D850, idéal pour la photo de studio mais aussi pour les reportages, et son superbe Nikkor 85 mm f/1.4 qui offre une qualité d’image et de rendu extraordinaires pour les photos de studio (pour faire écho à la remarque sur les flash, en studio, c’est tout l’inverse. C’est le flash qui fait toute la lumière. Si je l’éteins, la photo sera entièrement noire, ce qui est la garantie de la maîtrise de la lumière).

Mentionnons également le Tamron 15-30 mm f/2.8, qui nous permet de changer la perspective tout en offrant un rendu artistique sans pareil.

Enfin le merveilleux Nikon Z9 qui est devenu mon appareil de prédilection et qui a remplacé définitivement l’ancien Nikon D810. Mon prochain livre sur l’Ariège comportera des clichés pris avec ce nouvel appareil. En plus des objectifs habituels, je l’ai équipé du Nikkor 40mm f/2 qui est très compact et a un très bon rendu également. Cet appareil est également devenu mn préféré pour les événements comme celui de iTonics, que nous avons couvert en octobre 2025.

En savoir plus sur le matériel photographique en général

Je connais parfaitement et suis assez attaché à mon matériel dont je prends grand soin afin de l’entretenir et de le garder en bon état.

Pour autant, je ne suis pas obsédé par la technologie. Je travaille depuis assez longtemps dans le domaine de l’innovation et de la High-Tech pour pouvoir affirmer que le type d’équipement que vous utilisez n’a pas grande d’importance.

Tout comme il est possible de dessiner avec n’importe quel type de mine ou de crayons de couleur, la photographie peut être réalisée avec n’importe quel type d’appareil. Même les plus frustres, dits « pinhole cameras » (appareils à sténopé) qui se composent d’une seule boîte noire percée d’un petit trou. Cela n’a aucune importance. Mon travail de photographe est basé sur la façon dont je vois le monde et mes photos sont à peu près composées de la même façon que mes aquarelles et mes dessins.

Peut-être que je ne suis pas photographe après tout, mais plutôt un peintre avec un appareil photo dans les mains. Et cela me va très bien.